Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome I.djvu/352

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
350
LA BANDE CADET

joui en artiste de l’effet produit par son grand air :

» Article quatrième : La future épouse apporte en mariage et se constitue en dot :

» 1o Personnellement, ses effets mobiliers, linge, hardes et bijoux.

» 2o Du fait de ses parents et amis ci-après dénommés, une rente de 25,000 francs que s’engagent à payer solidairement par quartiers Mme la comtesse Joulou du Bréhut de Clare, née Marguerite Sadoulas, M. Jaffret (Jean-Baptiste), rentier, M. le comte de Comayrol (Stanislas-Auguste) et M. Samuel-Meyer, sujet prussien, docteur-médecin des facultés de Paris et d’Iéna, soussignés.

» 3o Ses droits actuels et liquides, mais subordonnés à la production des titres à la succession de feu son père, M. Morand Fitz-Roy Stuart (Étienne-Nicolas) et à celle de feu sa mère Marie Gordon de Wangham, évaluées ensemble à la somme de (mémoire).

» 4o Ses droits actuels et liquides, etc., aux successions de demoiselle Désirée-Mathilde Fitz-Roy Stuart de Clare et de demoiselle Mathilde-Émilie Fitz-Roy Stuart de Clare, décédées en leur hôtel de la rue de la Victoire, le 5 janvier dernier, lesdites successions