Page:Féval - La Bande Cadet, 1875, Tome I.djvu/207

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


X

Le docteur Lenoir


L’avenue étroite et longue, bordée de tilleuls assez hauts, mais frêles et manquant de sève, collés qu’ils étaient aux deux propriétés voisines, ne laissait voir que la portion centrale de la maison qu’elle desservait.

C’était un hôtel de moyenne grandeur et que, de loin, on aurait pu croire solitaire.

Ce fut seulement quand nos deux compagnons