D. Cette division se faisait-elle sans peine ?
R. Non ; elle offrait souvent beaucoup de difficultés.
D. Comment l’a-t-on rendue facile ?
R. En séparant par des barres verticales, appelées barres de mesure, ce qui appartient à chaque unité de temps.
D. Comment appelle-t-on le contenu de notes et de signes de notations placés entre deux barres ?
R. Une mesure.
D. Par quel nom désigne-t-on chaque division de la mesure ?
R. Par celui de temps.
D. Comment nomme-t-on les mesures qui doivent être divisées en deux parties ?
R. mesures binaires ou mesures à deux temps.
D. Quel est le nom des mesures qui doivent être divisées en trois parties ?
R. mesures ternaires ou mesures à trois temps.
D. Quel est celui des mesures qui doivent être divisées en quatre parties ?
R. mesures quaternaires ou mesures à quatre temps.
D. Comment se marquent les temps de la mesure ?
R. Par des mouvements de la main.
D. Quels sont ces mouvements ?
R. Dans la mesure à deux temps, le premier se fait en baissant, le second en levant. Dans la mesure à trois temps, le premier se fait en baissant, le deuxième vers la droite, le troisième en levant. Dans la mesure à quatre temps, le premier se fait en baissant, le deuxième à gauche, le troisième à droite, le quatrième en levant.
D. Par quels signes indique-t-on si la mesure est binaire, ternaire ou quaternaire ?
R. La mesure à deux temps est indiquée par un si la valeur de temps contenue entre deux barres verticales est égale à une ronde, et par si cette valeur n’égale qu’une blanche. La mesure à trois temps se marque par si la valeur contenue entre deux barres est égale à trois quarts de ronde, et par si cette valeur n’est égale