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LES FÉES DU CYCLE BRETON

chanter la fatalité de l’amour, de sorte que les petites fatalités humaines, que les fées étaient censées représenter, auraient pris la fuite devant une fatalité plus sombre, plus puissante, plus terrible.

La vertu consolatrice du grelot-fée s’est réellement perdue dans la mer immense, ou dans l’âme encore plus orageuse et plus troublée d’Iseut la Blonde !