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LA VIE ET LA MORT DES FÉES

sacrifiant, lui aussi, à cette mode d’imitation qu’il avait tant décriée !

Après lui, les Truffaldin, les Brighella, les Tartaglia, les Pantaleone, s’évanouirent comme des masques au matin d’une nuit de fête. Toute cette étincelante féerie pâlit et mourut, pareille à celle du soleil couchant, lorsque le soir l’a touchée.