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LA VIE ET LA MORT DES FÉES

Quelles parentés y a-t-il entre le cygne de l’ancien Dolopathos, et celui de Lohengrin apparaissant et disparaissant sur une phrase musicale qui enchante nos mémoires ? Sont-ce les vestiges d’une philosophie, d’un mythe ou d’un rêve de très vieux hommes, traduisant ainsi l’impression de nostalgie et de beauté qui flotte, avec la blancheur des cygnes, sur les eaux sombres des étangs ?