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III

LE JOUR DANS LE VIDE. — VOLFRANG BRÛLE LA LUNE. — DESCENTE À VÉNUS.


Après sept ou huit heures d’ascension dans les ténèbres, je m’aperçus avec joie, que, sur le bord oriental de notre globe, l’atmosphère s’éclairait par degrés. Bientôt le soleil reparut à mes yeux ; sa teinte d’un brun orangé devint de moins en moins foncée à mesure qu’il traversait les diverses couches de l’atmosphère, et lorsqu’il s’en dégagea au bout

2.