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VOYAGE À VÉNUS

complice des mauvaises passions qu’elle devrait combattre.

« Sauf cette exception, nous n’imposons aux lettres aucune entrave, et l’État n’intervient que pour appeler et soutenir le débutant dans la bonne voie, le préserver des défaillances auxquelles pourraient l’entraîner les nécessités de la vie, et, rendant la bonne littérature aussi lucrative que l’autre, combattre celle-ci sur le terrain même des intérêts. »

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