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fois avec de l’eau de Cologne. La lumière avait été laissée allumée par mon ordre, et j’étais en train d’arranger mes cheveux devant la glace, quand la porte s’ouvrit doucement et William entra.

Je me précipitai dans ses bras, et aussi ardents l’un que l’autre au plaisir, nous relevâmes nos chemises, et me plaçant contre le mur j’ouvris mes cuisses, et je reçus dans mon petit con le cher objet qui me donnait de si paradisiaques délices. Je le tenais par la taille, tandis qu’il me tenait par les fesses, travaillant vigoureusement ; j’allais à sa rencontre avec une vigueur égale, et bientôt il versa en moi la manne céleste. Le plaisir fut si grand, que je laissai tomber ma tête sur son bras dans un état complet d’inconscience.

Ses baisers me rappelèrent à la réalité.

— Avez-vous fermé la porte à clef, mon cher William ?”

— Je ne crois pas.”

— Quelle imprudence mon bien-aimé, allez vite mettre le verrou.”

Pour m’obéir, il dut se retirer et pour la première fois, je vis le cher objet en pleine lumière, il avait environ 6 pouces de longueur, était gros en proportion, rouge, raide et encore humide de ces récents exploits. En regardant sur le parquet, je vis une large tache de quelque chose de blanc.

— Qu’est ce que c’est que cela ?”

— C’est mon foutre que j’avais fait jaillir en vous, et que vous avez répandu.”

— Comment vous avez versé tout cela en moi ?