Elle poussa ce cri, ayant porté les mains à mon menton : « Enfant, ô mon enfant, je te supplie ! » Elle se pendait à mes joues, et l’arme a abandonné mes mains.
Malheureuse, comment osas-tu regarder de tes propres yeux le meurtre de ta mère expirante ?
Et moi, m’étant couvert les yeux de mon manteau, je commençai le sacrifice avec l’épée… je l’enfonçai dans le cou de ma mère.
Et moi, je t’encourageais et aussi j’ai touché l’épée.
Tu as commis le plus affreux de tous les crimes.
Prends, cache les membres de ta mère dans son péplos ; aide-moi à parer les blessures béantes. (Au cadavre.) Tu as donc enfanté tes meurtriers !
Sur toi, amie ennemie, nous jetons tous ces vêtements.
Couronnement des grands malheurs dans la maison !
Mais voici qu’au-dessus du faîte de la maison