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les Dieux. Soufflez, ô vents, et menez à Athèna sur sa nef, le fils d’Agamemnôn ! Je t’accompagnerai moi-même en veillant sur la statue vénérable de ma sœur.
LE CHŒUR.
Allez ! heureux d’avoir eu la vie sauve par une destinée propice ! Ô toi, Vénérable entre les Immortels et les mortels, Pallas Athana ! nous ferons ce que tu ordonnes. Combien elle est douce et inespérée la nouvelle que mes oreilles ont entendue ! Ô Victoire très vénérable, accompagne toute ma vie, et ne cesse jamais de me couronner !
FIN D’IPHIGÉNÉIA CHEZ LES TAURES.