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V


Le dimanche ensuivant, Milou met ses souliers, sa blouse, se passe les doigts dans les cheveux à mode de peigne et monte à Maumont. Il est midi ; la demoiselle, de retour de la messe, dit à Poulette, la chambrière, de le faire déjeuner. Alors il se sied au bout de la table de la cuisine, en face de Guéral, le domestique qui a remplacé le vieux Jeantil mort de ça huit ans il y a.

De bonne soupe, ma foi, comme oncques il n’en mangea, faite avec des carcasses de dinde, car cette semaine passée on mit le confit dans les pots.