Page:Eugène Le Roy - Nicette et Milou, 1901.djvu/169

Cette page a été validée par deux contributeurs.

un de leurs droles en travers aux pieds, Milou et Botille à côté de la mère, au risque de les étouffer. De l’autre côté, où est la paillasse, sous une couverture trouée, se blottissent pêle-mêle les autres droles, garçons et filles, et bientôt tout dort dans la misérable demeure des Barbot.