Page:Eugène Le Roy - Nicette et Milou, 1901.djvu/156

Cette page a été validée par deux contributeurs.

jeunes filles ! Fuyez ce vice détestable qui l’a perdue ! Ne prêtez jamais l’oreille aux propos des galants ! Pour les avoir trop écoutés, celle-ci est déshonorée en ce monde et damnée dans l’autre ! »

Pauvre petite Nicette !

Heureusement, pendant que le curé la flétrit et la damne, sous la terre où vont faire leur œuvre les travailleurs nécrophages, la douce créature dort en paix aux bras de la Mort libératrice.