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XIII


Ah ! si M. Rudel savait ce qu’il y a dans cette lettre !… La bonne mère écrit à son Jean que le bon-papa Dumazy a vendu son bois châtaignier de la Merlie, pour lui acheter un homme, et qu’aussitôt payé il lui enverra l’argent, « coup sec ».

Elle lui fait savoir ensuite que « quelqu’un » fait tout le possible pour prendre la Nicette comme chambrière à la maison. Elle est bien sûre que la Guillone n’y voudra jamais entendre, mais d’ailleurs elle est là aussi, et, « au bon besoin », s’y opposerait.

Pour son Jean, elle se révolterait contre