Page:Eugène Le Roy - Mademoiselle de la Ralphie, 1921.djvu/27

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

étu- tout le jour à l’école de Fontagnac, où il y avait, à ce qu’on disait, un maître plus savant que la sœur.

— Mais, dit la petite, papa dit que ce n’est pas bien utile pour ceux qui travaillent la terre d’aller à l’école.

Damase ne contredisait pas ceci, par respect pour son monsieur, mais il pensait, à part lui, que si ça n’était pas bien utile, au moins ça ne pouvait pas nuire.

Lorsqu’ils furent proches de Guersac, ils trouvèrent M. de La Ralphie qui rentrait seul ; M. Second n’avait pas voulu l’accompagner, disant qu’il voyait bien assez sa sœur à la maison, sans la rencontrer ailleurs. Et, sur cette belle raison, il s’en était allé avec ses chiens, chez un de ses amis, du côté de la Forêt Barade.