�LE CINQUIÈME LIVRE DES ÉLÉMENTS DʼEUCLIDE. 263
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τῶν μὲν Α.Τ΄, Ε ἰσάκις πολλαπλάσια τὰ Ἡ, Θ.Κ, τῶν δὲ Β, Δ, 2 ἄλλα ἃ ἔτυχεν ἰσάκις πολλαπλάσια τὰ ΛΑ, Μ, Ν᾽ εἶ ἄρᾳ ὑπερέχει τὸ Ἡ τοῦ Δ, ὑπερέχει καὶ τὸ Θ τοῦ Μ, καὶ τὸ Κ τοῦ Ν᾽ καὶ εἰ ἴσον, ἴσον" καὶ εἰ ἔλασσον, ἔλασσον». Ὥστε καὶ εἶ ὑπερέχει τὸ Η τοῦ Δ., ὑπερέχει καὶ τὰ Η, Θ, Καὶ τῶν ΔΛ, Μ, Ν'" καὶ εἰ ἴσον. ἔσα" καὶ εἰ ἔλασσον, ἔλασσονα", Καί ἐστι τὸ μὲν Η καὶ τὰ Η, Θ, Κὶ τοῦ α καὶ τῶν Α, ΓΤ, Ε ἰσά- κις πολλαπλάσια" ἐπειδήπερ ἂν" ἦ ὁποσαοῦν μεγέθη ὁποσωνοῦν μεγεθῶν ἴσων τὸ πλῆθος. ἕκαστον ἑκάστου ἰσάκις πολλαπλάσια, ὁσαπλα- σιόν ἐστι ἕν τῶν μεγεθῶν ἑνὸς, τοσαυταπλάσια ἔσται καὶ τὰ πάντα τῶν πάντων, Διὰ τὼ αὐτὰ δὴ καὶ τὸ ΔΛ καὶ τὰ Δ,Μ, Ν τοῦ Β καὶ τῶν Β., Δ, Ζ ἰσάκις ἰστὶ πολλαπλάσια" ἴστιν ἄρα ὡς τὸ Α πρὸς τὸ Β, οὕτως τὰ Α. ΓΤ, Ε πρὸς τὰ Β, Δ, Ζ, Ἐὰν ἄρα ἢ ὁποφαοῦν, καὶ τὰ ἑξῆς. |
multiplices H , 6 , K , ipsarum vero B, A,Z alie utcunque zque multiplices 4, M, N ; si igitur H superatipsam A, superat et O ipsam M, et K ipsam N ; et si equalis, qualis; et si minor , minor. Quare et si superat H ipsam A , superant cet H, 0, KipsasA, M, N; et sizqualis, e- quales; et si minor, minores. Et est H quidem etH,O,K ipsius A et ipsarum A, P, E eque multiplices; quoniam si sint quotcunque mag- nitudines quotcunque magnitudinum zqualium multitudine , singulz singularum eque multiplices, quam multiplex estuna magnitudinum unius, tam multiplices erunt et omnes omnium. Prop- ter eadem utique et A et A, M , N ipsius B et ip- sarum B , A, Z eque sunt multiplices ; est igitur ut A ad B, ita A, T, E ad B, A, Z. Si igitar sint quotcunque , etc. |
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des équimultiples quelconques H, 6, K des grandeurs A, T, E, et dʼautres équimultiples quelconques A, M, N des grandeurs B, A, Z ; si H surpasse A, © surpasse M, et K surpasse N ; si H est égal à A, o est égal à M, et K égal à N ; et si H est plus petit que A, e est plus petit que N, ei K plus petit que N (déf. 6. 5) . Donc, si H surpasse A, la somme des grandeurs H, ©, κ surpasse la somme des grandeurs A, M, N ; si H est égal à ^, la somme des grandeurs H, ©, K est égale à la somme des grandeurs A, M, N ; et si H est plus petit que A, la somme des grandeurs H, ©, K est plus petite que la somme des grandeurs A, M, N. Mais la grandeur H et la somme des grandeurs H, ©, K sont des équimultiples de la grandeur 4 et des grandeurs A, T, E, parce que si tant de grandeurs qu’on voudra sont les mêmes multiples d’autres grandeurs égales en nombre, chacune de chacune, la somme des premières grandeurs est le même multiple de la somme des secondes, quʼune de ces grandeurs F est d’une de ces grandeurs (1. 5) . Par la même raison, la grandeur 4 et la somme des grandeurs A, M, N sont des équimultiples de la grandeur B et de la somme des grandeurs B, A, Z ; donc A est à B comme la somme des grandeurs A, T, E est à la somme des grandeurs B, ^, Z (déf. 6. 5) . Donc, etc.
�LE CINQUIÈME LIVRE DES ÉLÉMENTS DʼEUCLIDE. 263 τῶν μεν Α. Τ. Ε ἰσάκις πολλαπλάσια τα H, ©, K, Toy dé B, A, Z 422a à éruyey ἰσάκις qoAñnamdcie Ti À, M, N* εἶ αρα υπερεχει Το H7ouÀ, uTrepéyesxo4T0©ʼT0UM, xaiTOK του Ν κα ! εἰ ΕΟΝ. ΕσΟΥ καὶ εἰ ἐλαζ6ΟΥΝ » ἐλαδσδ0Ρ. ΩσΤε καὶ εἰ υπερέχει το Ἡ του Δ » . υπερέχει xaiTiH, O, K70vA, M, N ! *xaieiiov, ἔσα. καὶ εἶ ἑλασσογ. , ἑλασσονα2, Καΐ ἐστι τὸ μεν Η xasT4H, ©, KTrouÀkai70yA, T, Eica- xig πολλαπλάσια" ἐπειδήπερ ay ? ή ὁποσαοῦν Μεγέθη ὁποσωγνοῦν μεγεθῶν ἴσων το πλῆθος » CHAOTOY EKAOTOU ICLKIS TOAÂAATALTIAT, οσαπλαà CI0Y ÉOTI V TY méyebor vos, TocaurTamrAacia έσται, καὶ τα παντα τῶν παγτῶγε Δια Τα αυτα δήκαὶτὸΛκαὶταΛλ. Μ. ΝτοῦΒκαὶτῶνΒ. A, Z ἰσάκις ἐστ) πολλαπλάσια" i9TIP dpa, (6 τὸ Α πρὸς Τὸ B, οὕτως Td ? A, T, E πρός τὰ B, multplices H, €, K, ipsarum vero B, A, Z alie utcunque eque multiplices A, M, N ; si igitur H superatipsam A, superat et O ipsam M, et K ipsam N ; et si equalis, æqualis ; et si minor, minor. Quare et si superat H ipsam A, superant ct H, ©, Kipsas 4, M, N ; et si æqualis, æquales ; et si minor, minores. Et est H quidem etH, O, KipsiusAetipsarumA, I, Eeque mulüplices ; quoniam si sint quotcunque magnitudines quotcunque magnitudinum æqualium multitudine, singule singularum eque multiplices, quam multiplex estuna magnitudinum unius, tam multiplices erunt et omnes omnium, ProptereademutiqueetAetA, M, NipsiusBetipsarum B, A, Z æque sunt multiplices ; est igitur utAadB, itaA, T, EadB, A, Z. $iigitur sint quotcunque, etc. A, Z, Eay αρα ή οποζαουγ » καὶ Ta e£ic. des équimultiples quelconques H, 6, K des grandeurs A, T, E, et dʼautres équimultiples quelconques A, M, N des grandeurs B, A, Z ; si H surpasse A, © surpasseM, etKsurpasseN ; siHestégalàA, oestégalàM, etKégalàN ; et si H est plus petit que A, e est plus petit que N, ei K plus petit que N (déf. 6. 5) . Donc, si H surpasse A, la somme des grandeurs H, ©, κ surpasse la somme des grandeurs A, M, N ; si H est égal à ^, la somme des grandeurs H, ©, K est égale à la somme des grandeurs A, M, N ; et si H est plus petit que A, la somme des grandeurs H, ©, K est plus petite que la somme des grandeurs A, M, N. Mais la grandeur H et la somme des grandeurs H, ©, K sont des équimultiples de la grandeur 4 etdes grandeurs A, T, E, parce que si tant de grandeurs qu’on voudra sont les mêmes multiples d’autres grandeurs égales en nombre, chacune de chacune, la somme des premières grandeurs est le méme multiple de la somme des secondes, quʼune de ces grandeurs Fest d’une de ces grandeurs (1. 5) . Par la même raison, la grandeur 4 et la somme des grandeurs A, M, N sont des équimultiples de la grandeur B et de la somme des grandeurs B, A, Z ; donc A est à B comme Ja somme des grandeurs A, T, E est à la somme des grandeurs B, ^, Z (déf. 6. 5) . Donc, etc.
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