Le présent travail a pour origine une thèse présentée à l’Ecole Nationale des Chartes en 1901. En lui faisant une place dans la série de ses Mémoires et Documents, la Société de l’Ecole des Chartes lui a fait un honneur dont son auteur sent tout le prix. Mais elle a voulu surtout donner par là une preuve de libéralisme scientifique et montrer quelle s’attache à encourager partout l’application des méthodes critiques rigoureuses dans le domaine de l’histoire moderne aussi bien que dans celui du Moyen Age.
Qu’il me soit permis de lui en apporter ici un double hommage de respectueuse reconnaissance. Qu’il me soit également permis d’exprimer ma gratitude à tous ceux qui, à des degrés divers, ont bien voulu me prêter leur gracieux concours.
DAMPIERRE.