Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 244 —
Et toi, chêne battu par l’ardente tempête,
Qui dresses vers le ciel une sublime tête,
Ô Victor ! si mes vers, timide essaim d’oiseaux,
Recevaient en volant quelques gouttes de pluie,
De temps en temps permets que leur aile s’essuie
Et s’abrite sous tes rameaux !
Décembre 1833.