Page:Esquiros - Les Hirondelles, 1834.djvu/159

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


L’étranger


Que la nature est belle en un jour de printemps !
Qu’il est doux de s’asseoir sur l’herbe refleurie
Et de voir l’hirondelle errer dans la prairie ;
Que ce soleil nouveau me plairait à quinze ans ;
Que ces lieux seraient beaux, s’ils étaient ma patrie !