Page:Esquiros - Les Hirondelles, 1834.djvu/121

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 115 —

Le monde est une harpe immense ; chaque corde
Rend un son merveilleux, se cadence et s’accorde
Sous les doigts d’un musicien.
Le poète qui tient le monde en son génie,
De ce vaste concert répétant l’harmonie,
En est l’écho magicien.

Juin 1831.