Page:Esquiros - Les Hirondelles, 1834.djvu/105

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Ni plaisir ni peine.


À la brise du soir quand les feuilles frémissent,
Quand le soleil rougit dans un beau ciel d’été,
Quand les nuages d’or à l’horizon se plissent,
Quand le silence vient, et quand les bois s’emplissent
De mystère et d’obscurité,