courent après ceux de leurs camarades désignés par ce dernier nom.
Bibi ; mot employé dans l’apostrophe : « Tu louches, bibi ! » adressée aux joueurs indiscrets au jeu de vis, qui retournent la tête pour tâcher d’apercevoir où leurs adversaires vont se cacher.
Billes ; voy. canettes.
Biquette ; petite cheville de bois employée au jeu de rouche-biquette, qui est enterrée dans un tas de sable et que le perdant du jeu doit retirer avec ses dents et sans se servir de ses mains.
Bogue ; voy. faire la bogue.
Bois ; mot qui se trouve dans les expressions gros bois et p’tit bois, et désigne les extrémités du pirli (voy. bout).
Boite (la) à sept coups ; vingt-troisième figure du jeu de fion… — Il y a aussi la boite à dix, quinze, vingt coups et plus.
Bon gré (de) ou de force ; expression employée au jeu de fion (vingt-deuxième figure : l’âne au moulin.)
Bonhomme ; on appelle bonhommes les diverses figures (géométriques le plus souvent) que les enfants tracent sur le sol pour marquer les parties gagnées à la marelle. Chaque joueur choisit une forme particulière de bonhomme (rond, carré, triangle, croix, étoile, etc.).
Bonnes-sœurs (les) ; la vingtième figure du jeu de fion.