VARIANTES 269
P. io8,v. I. Tu n'occis point, mais tu somics l'assault.
— 10. Toutesfois luy et tous les inventeurs
— II. De faulx conseil ne sont moins à blasmer. Ill, 10. Par la faim qui le tourmentoit.
1 i5, 7. Hors du terrier, et dès qu'elle les veid — • 8. Pour son butin les print et les ravit. 121, 4. Par ardeur bruslant comme mèche. 123, 5. Une Corneille se juchoit. 1 3 1 , 10. Afin qu'un Roy puissent eslire. 1 3 2, 8. Par quel art nous defendras-tu ? 1 36, 9. En hanissant et se faisant ouyr.
— 12. Je suis tombé en la maind'u;! bourreau
— i3. Quim'occira pour courroyer ma peau.
I 5o, 4. Ains comme Hz sont meschans et langoureux.
— 5. Ont ce désir que chascun leur ressemble.
— 12. Lors un Regnard de ceulx qui estoit là. 1 5i, 8. Quand pour grimper à mont s'essaye.
— 12. Dont il eut grief ve marrisson.
I 59, 5. Contre le Cerf un Cheval avoit guerre,
— 6. Et pour le batre il le suyvit grand erre. 160, 16. Estans vainqueurs, ilz demeurent vaincus.
II y a une lacune dans l'exemplaire de la bibliothèque de l'Arsenal. Les fables LXXXI à LXXXVII manquent.
i83, 6. Au justes Dieux, de leurs haultz benefices. 194, 7. Le Lièvre alors confesse sa paresse. 199, 12. A Jupiter, tant petite que grande.
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