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Les malfaiteurs voient s’éteindre leur lumière[1].
Le bras déjà levé pour le crime est brisé.
Es-tu descendu jusqu’aux sources de la mer[2] ?
T’es-tu promené au fond de l’abîme ?
Les portes de la mort se sont-elles montrées à toi ?
As-tu vu le seuil des ténèbres ?
As-tu embrassé la longueur du monde ?
Parle, puisque tu sais tout.
Sais-tu quel chemin conduit au séjour de la lumière,
Et en quel lieu résident les ténèbres,