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s’est donnée librement, par eontrat, avec sa duchesse Anne[1]. »

Le Breton bretonnant n’en sait pas moins vivre et,

  1. Pétition pour les langues provinciales au Corps législatif de 1870, par le comte de Charencey, H. Gaidoz et Ch. de Gaulle, Paris, 1903, p. 7, 8 de la Préface de M. Gaidoz.