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Vartîde’G-RAVvs.e les différens travaux propres à expr^msc diffîrens objets. PMûucIur une pLinchi, a plafiears acceptions. Q^and il s’agit d’une planche déjà ébauchée à l’eaa-force", comme terok lifig. 6. la recoucher &ù fynonyme avec finir , c’ell la terminer au buïin : ainfl q’^and elle lera achevée, qu’elle aura TefTe : qui lui convient die aura été retouchée. Hetoucher (e dit aulu d’une planche que le travail de rimpreffion auroit uffco en partie , & à laquelle on feroit les réparations néccffiiires pour la remettre en éiat de tirer de nouvelles épreuves, PLANCHE V.

IFfo’. I. Faire mordre à l’eau forte à couler.

  • AAB le chevale.t pour tj.ire mordre. B la

planche de bols qui iert d’appui. Ç C planche ilippoiée appuyée fiir le clievalet, Se pottée par les cheVi’iies Z , /. D D les rebords Au chevalet. E l’auge dans laquelle tombe l’eauforce que l’on verte Tar la planche C^C. e e .’ talut intérieur da l’auge qui rame àé ; l’eau vers /"> où l’on voit un goulot par lequel elle combe dans la terrine g. h le pot pour yerfer l’eau-forte. ii chevilles quifoutiennent l’auge E.

Lorlqu’on aura verfé plufieurs potées fur laplancheB, onla retournera dans un fans contraire, comme la fi.g. 2. ’et iaj%. 3. le montrent , & on reverlera le nouveau, ^’oye^ Vcirticle Gravure.

Â, Ayant à faire mordre la planche B , on fera «tientionaux différens plans/, m, n,o qui ne doivent pas mordre autant les uns que les autres. Les plans les plus éloignés comme 2, feront couverts les premiers, mleî féconds, fi enfuite , & le premier plan le dernier. Si le ciel eil : vague, ce iera aufli une des presnièrca chofes que l’on couvrira , air.fi que !es demi-teintes quife trouveront dans les autres plans lotfqu’eiles feront allez mordues. En général le payfîge doit être un peu plus mordu qu’un fujct tout de figures. Voyei^ une autre manière de faire mordre, PL fl, fig. t. g. Manière de faire mordre à plat aves d ; Tecuforte de départ, pp la table. l,li,l les rebords de cire qui contiennent l’esu-forte fur la planche ii. x la plume avec laquelle on remue l’eau- forte pour enlever la mouffe qui fe forme fur les tailles. On retire de teraps-en-tenis l’eau - forte pour couvrir les endroits qui ne l’ont pas affez mordus, &c on fe fert pour cet ufage de mixtion ou de vernis de Venife. On trouvera à {article Gravure tout ce qui peut concerner l’emploi de l’une /OU l’autre eau-forte , les précautions à prendre en laifant mordre , la compofltion .de la mixtion , &c.

U^miai-J/ts. Torp.s JJ»

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, ChalTs, tes qvatre tringles fcnr affcmbiée en aaaa..I> b , ficelles tendues d’un angl„ à l’on oppofé. 6-c, plufïeurs feuilles de papier collées enfembie ,. & enfuite collées fur les quatre cô-és du chaiTis. On voit l’u.fege du chaflis,^^. 5, 6. Sr 7. de la vignetce. On huile ou vernit le papier du chailis pour le rendre plus triulparent.

, Lampe Sichaflls pour graver le fo ;r.« labmpe à trois mèches. /’, virole dan» laquelle s’introduit la branche de fer g, qui porte là lampe & le chalTis. h piton à vis qui s’enfonce dans le mur pour porter le tout, i la plancha fous le chaflis.

P L A N C H E V I.

Machine imaginée par M. i^ATSz.ET, poue^ faire mordre à Ceau forts à couler. Fig. I. A , B , A B cage qui contient Le roi ;age. À, A les montans. E B les traverfes. C, Q les pies qui font fixés par le moyen de deux vis 3. la traverfe inférieure B. T barillet contenant le refforr. a grande roue, r arbre commun au barillet & à la grands roue fur la-. quelle ils font fixés. V arbre qui porte un pignon fur lequel engrené la grande roue, u petite roue enarbree fur le pignon V, & engrenant fur le fécond pignon que porte l’arbre X ; cet arbre porte fur i’iin de fcs pivots extérieurement à la cage un rochet R à trois dents, DD anneati elliptique, r, r fes deuK palettes, d’ queue fupérieure de l’anneau. d queue inférieure recourbée en équerre. î périt bras qui eu joint à la queue inférieure par une de fes extrémités , & par l’autre à la branche courte F qui fert de levier. E C F le balancier. G G la verge. H lentille de plomb. E branche longue. K goupille fixée fur le montant A de la cage ; cette goupille pafîg librement dans une douille ou canon que porte les branches E", F., & : la verge G G , qui ne forment enfemble qu’une feule pièc^ en forme de T. Voyei fig. 3. bis. L autr® périt bras fixé par une de fes extrémités à la branche E , & par l’autre au levier M.M levier du porte - boîte fi.xé fur le tourillon O :• on obfervera que la branche E , le bras L ,- &C le levier M s’uniffent par des articulation»à charnière à leurs extrémités ; il en efl ds’ même de la branche F , da bras I , & ; de 1%. queue d de l’anneau. ON, NO porte-boîte-,-O fes deux tourillons. P, P doigts de fer rivés fur la barre N , N. Q, Q les fupportj du porte-boîte, q q pies des fupporcs qui fe terminent en vis , & font fixés fur la tablç par ie moyen de deux écroux qui les ferrent par-4effpi4S. Y Quverture en forme deraJaux ?’ î i i i