=V13’, 5 : 46*07’, 5+43 » 1j’, o=89°x% :
46e15’, 7+43°15’, o =89030’, 7 : 46042’, 7
+42057’, 8 =89040’, 5.Sil’onprendaussi,
lesdifférencesdeceslongitudes, onaura, 460 15’, 7
— 43°15’, o =3°00’, 7 =46°o/, 5 —42°57’, 8 =3009’, 7 : 46°M’, 7—42057’, 8=3017’, * 46042’, 7—43015’, o=302/, 7.Onpeut extrairedecequiprécède, leslongitudesdeces Villes, dediverfesmanières : 1 °. la fomme moyenne deceslongitudes, parlaplussûre, maisparla pluslonguedenos méthodes, estde89025’, o, & leurdifférence, estde30n’: lesdeuxlongitudes, çtubrefultentdelà, font—=
s=^óe’! 5*7, 0• ^esdemi-sommes, deslongitudesprécédentes, avecleursdemi-différences, enréunissantd’abord, auxpluspetitesderaisommes, lesplusgrandesdemi-différences, offrent leslongitudesfuivantes : 44036’, 75+1°43’, 8f
46020’, 6 : 44°25+’°38’, 95
46020’, 2 : 44045’, 35+1034’, 85 =46020’, 2 : 44050’, 25+1°30’, 35=46020’, 6 ; &en séparantdesmoindresdemi-sommes, les moindres demi-différences, ona44036’, 75—1°30’, 35 = 43°o6’, 4 : 44°41’, 25—1°34’, 8 ; =43°o6’, 4 : 44045’ » 35—i°38’, 95=43°06, 4•*44°5°’, M —1°43’, 85=43006’, 4 : parcemoyen,
onvoitquelalongituded’Erzerum, estde46020’, 4, &quecelledeTrébizonde, estconstamment, de 430 06’, 4. 3 *. Des longitudesparticulièresassorties, onobtientcesquatre rapports.
46007’, 5 : 46°15’, 7 : 4<S°15’, 7 : 4*°4*’, 742058’, 8 : 42°5/, 8 : 43°Wt°■43°M’.O-Egalantlasommedestermesdechacun, à89025’, quiestlasommemoyenne, trouvéeci-dessus, il viendraenassortissantlestermes, 46012’, 7 : 46017’, o : 46021’, 3 : 4626’, 6, N42057’, 4 : 43°°3’, 7 : 43°°8’.o : 43012’.3, « Poilparunmilieuarithmétique, onalalongituded’Erzerumde, 46019’, 4, &celledeTrébizondede, 43005’, 6.
II réfultedelà, quelalongitudedeTrébizonde, feroitde, 43006’, 4, &quecelled’Erzerum, feroitde, 46019’, 4 ; cependantonnelesapas fuivies.i°.Parcequel’observationdel’émersion, dupremier SatellitedeJupiter, à Trébizonde, le içJanvier1692, futfaiteavecunelunette, de 11 piedsfeulement, d’unequalité médiocre ; ainsi leP.Dìuí, auravuprobablement, l’émersiontrop tard ; (M.Pingré, AvertissementfurlaCartegénéraledelaGéorgie : )onpeutdoncpréfumerque leP.Dius, auraconcludecetteobfervation, h longitudetropforte.20.LeP.deBèzeferoit compter, lalongituded’Erzerumtropgrande ; car ladifférencedesméridiens, entre Erzerum&Trébizondeest, parcequiprécèdede, 30 12’; £ on1’ajoute, àlalongitudedeTrébizonde430 15’, o, queleP.Dius, n’afurementpasfaittropfoible, onauraauplus, pourcelled’Erzerum, 46027’, o. La plusgranded1fférencedesméridiens, entre Erzerum &Trébizonde, quel’onpuisseextrairedece quiprécède, est3014’, o ; sion1’ajoute, àla longitudedeTrébizonde, duP.deBèze, il viendrapourcelled’Erzerum, 460 n’, 8, beaucoup plusfoibîe, quecellequece mêmePère, feroit compter ; ensortequedósormais, onpourroitk lalongituded’Erzerum, 46042’, 7, duP.de Bèze, fubstituer46027’, o&460n’, 8, lesquellessontplutôtfortesquefoibles. Cettefubstitutionnechangeroitpoint, lalongitudedeTrébizonde, quel’onvientdetrouver ;’ maisellediminueroit, celled’Erzerumde3ou4V &ladifférencedesméridiens, entrecesVilles, neferoitplus, quede3009ou107 ; ainsifan » ledoutequireste, furl’obfervationdeTrébizonde, duP.Dius, onauroitétéobligédepofercette Villepar, 43°06’, 4, àl’estdeParis.Loindonc d’abondericienlongitude, onpourroitêtree » défaut, furcepoint, de8’, 6.
Oncroitavo1r, assezfolidementétabli, lapositiondesdeuxprincipauxpoints, furlesquelsona appuyé, l’augmentauonde50j, danslalongitude, delacôteméridionale, delaMerCafpienne:de* obfervationsfuturesexactes, confirmerontott. augmenterontpeu, lalongitudedecespoints.Mais parmileshommesquiregardentleCiel, ilyert amalheureufement, untrès-petitnombre, quiait lafacultédelebienvoir, aussilesvraisObfervateurssont-ilsrares ; c’estpourquoiondéf1rera, encoralong-temps, deplusexactesobfervations, que cellesqu’ona; caronnecompterapasfansdoute, t>armilesbonnesobfervations, celledelafinde ’éclipfedeLune, du30Juin1787, faiteàCafbin, à7*.45’50"dufoir.EncetteVillecejourlà, leSoleillecoucha, à7*.17’; lafindel’éclipfe yarriva, 28’50", aprèscecoucher ; lanuitn’y futclofe, qu’à9*.09’; lafindel’éclipfeyfut obfervée, onleprétend, 1*.23’avantlanuit clofe ; lesouvrierspouvoientencore, aprèsce moment, ytravailler20’detemps, àlaclarté naturelledujour.Lafindecetteeclipfe, eûtdû arriveràParis, àenviron, 4*.36’dusoir ; mais l’obfervationdeCasbin, nepeutapprendreàperfonne, àquelmomentcettefinyarriva ; letrop grandjour, laLuneàpeineélevéede6°, &en Generatedon2014-03-2510 : 48GMT/http : //hdl.handle.net/2027/ucm.5320294282PublicDomain, -digitized/http : //www.hathitrust.org/access_use#pd-google DES CARTE·s.
= ! 9oq’, ~ : 46&07’, ~+43c. q’, o=89o u’, 5 : 46eI57+43o 150 = g9o JO 7 : 46o 42’, 7 + 41° 57’, 8 = 89° 40’, 5· Si l’on prend auffi, les différences de ces longitudes, on aura, 46° 1 ;’, 7 -43o I ~’, o =Jo oo’, 7 : 46o of, ~ —42.o p’, 8 =
3° 091, 7 : 46° 15 1• 7-4~0 p’, 8 =3° 17’, cJ : -t-6o 4’17-43o I ; o = 3o 2.7 7· On peut extraire de ce qui précède, les longitudes de ces Villes, de diverfes manières : 1°.la fomme moyenne àe ces longitudes, par la phts sftre, mais par la plus longue de nos méthodes, dl de 89° 2.5’, o, & ~r différence, efi de 3° 12.1 : les deux longitudes, ..’1d)àr
89, 9’l.f’o + J.P, ,., IJ
1111, reiit tent e
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2.
- { ! ~ ::~ ::; :. 2.0• Les demi-fommes, des longitudes
précédentes, avec leurs demi— différences, en réuniffant d’abord, aux plus petites deœi. fommes, les plus grandes demi-différences, offrent leslongitudesfuivant~s : 44° 36’, 75 + 1° 43’, 85
46o’J.o’, 6 : +4o’J.t’, 2.5 + Io 38’, 9r
46o l.o’, 2. : 44o 45’, 35 + 1o 34’, 85 =46o 1o’, 2. : 44°)01, 1)+t0 ]01, 3)= 46° 2.01, 6 ; & en féparant des moindres demi-fommes, les moiadres demi-différences, on a 44° 36’, 75— 1° 30’, 35= 43o o6 4=44o 4• 15— 1o 34 8J =43o o6’, 4 : 44° 45’, 31— to 38’, 95 =43° o6 •4 : 44° so’, 15
1°43, 85= 43° o6’, 4 : parce moyen, on voit que la longitude d’Erzerum, efi de 46° 101, 4, & que celle de Trébizonde, efi confiamment, de 4 3° o6’, 4· ·3•. Des longitudes particulières afforties, on obtient ces quatre rapports. 46007’, 5 ; 4601)’, 7 ; 460I)’, 7 ; 46041’, 7• 41o)8’, 8 : 41057’•8 ; 430I)’, 0 ; 43o1)’, O. Egalant la fomme des termes de chacun, à 89° 2.5’, qui efi la fomme moyenne, trouvée ci-delfus, il -.. iendra en affortiffant les termes, , 46° n’, 7 : 46° 171, o : 46° 2.1 1, 3 : 46 161, 6, 41°57’, 4 : 43°03’, 7 : 43°o8’.o : 43°n’.J, d’oti par un milieu arithmétique, on a la longitude d’Erzerum de, 46° t9’, 4, & celle de Trébizonde de, 43o 05’, 6.
U réfulte de là, que la longitude de Trébizonde {eroit de, 43° o6’, 4, & que celle d’.Erzerum’ feroit de, 46° 19’, 4 ; cependant on ne les a pa~ fiiivies. 1°. Parce que l’obfervation de l’émerfion du premier Satellite de Jupiter, à Trébizonde, 1 ; t5 Janvier 1692., fut faite avec une lunette, de 1 1 pie~s feulement, d’une qualité médiocre ; ainû le P. DIU>, aura vu probablement, l’émerfion trop tard ; (M. Pingré, Avertiffement fur la Carte ~éné rale de la Géorgie :) on peut donc préfumcr que Dig ize
le P. Dius, aura conclu de cette obfervation, la longitude trop forte. 2. 0
.
Le P. de Bèze feroit
compter, la longitude d’Erzerum trop grande ; car la diffàence des méridiens, entre Erzemm & Trébizonde efi, par ce qui précède de, 3° n’; i on l’ajoute, à la longintde deTrébizonde43° 15 1, o, que le P. Dius, n’a furement pas fait trop faible, on aura au plus, pour celle d’Erzerum, 46° 17’, o. La plus grande différence des méridiens, entre Erzerum & Trébizonde, que l’on puiffe extraire de ce CJUÎ précède, efi 3° 14’, o ; fi on l’ajoute, à lA longitude de Trébizonde, du P. de Bèze, il viendra po~tr celle d’Erzerum, 46° t.I’, 8 •, beaucou’ÏJ plus f01ble, que celle que ce meme Pere, feroir compter ; en forte que d4formais, on pourrait l la longitude d’Erzerum, —46° 41’, 7, du P. de Bèze, fubfiituer.-46° 17’, o & 46° tt’, S, lef.o: quelles font plutot fortes que faibles. Cette fubfiitution ne changerait point, la longi. ; ; tude de Trébizonde, que l’on vient de trouver; · mais elle diminuerait, celle d’Erzerum de 3 ou 4’, & la différence des méridiens, entre ces Villes, ne ferait plus, que de 3° 09 ou ro’; ainfi fan1 le doute qui refie, fur l’obfervation de Trébizonde, dt~ P. Dius, on auroit été obligé de pofer cette V1lle par, 43° o6’, 4, à l’efi de Paris. Loin donc d’abonder ici en longitude, on pourroit être e11 défaut, ft~r ce point, de ~’, 6. ,
.
On crmt avo1~, ~ffez folidement etabli, la p~û tion de5 deux pnnc1~aux points, fur lefquels on a appuyé~ l’augt, n~~tauon de 5°~, dans la longitude • de la cote mend10nale, de la Mer Cafpienne:des obfervations futures exaaes, con6rmeront Olt augm.enteront peu, la l ? ngitude de ces points. Mais parm1 le5 hommes qm regardent le Ciel, il y en· a malheureufement, un très-petit nombre, qui ait la faculté de le bien voir, auffi les vrais Obfen-ateurs font-ils rares ; c’efi pourquoi on détirera, encore long-temps, de plus exaétes obfervations que celles qu’on a; car on ne comptera pas fans d~ute P~" ! li les bonnes obfervatio~, celle de la fin d~ l’eclipfe de Lune, du 30 Jwn 1787, faite à Caf. bin’à.,., 45’so" du foir. En cette Ville èe jourlà, le Soleil fe coucha, à 74 • 17’; la fut de l’éclipfe y arriva, 18’50", après ce coucher ; la nuit n’y fut clofe, qu’à 9’· 09 1 ; la fin de l’éclipfe y fut obferyée, on le prétend, 1~. 2.3’avant la nttit clofe ; les ouvriers po~voient encore, après ce moment, y.travailler 2.01 de temr :, à la clart~ nat.urelle du’our. La.fin de cette eclipfe, eût da amver à Pans, à envrron, 4•. 36’du fair· mais l’obfervation de Casbin, ne peut apprendre’à per• fonne’· ~ quel moment cette 6n y arriva ; le trop grand JOUr, la Lune à peine élevée de 6° & en D’
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UNIVERSIDAD CO PLUTE.NSE
DE MADRID
