Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
échapper à votre poursuite, que cet enlèvement coûterait la vie à Frantz… je voulais le sauver ! Malheureuse !… je refusai… Je reçus alors une lettre de Frantz qui m’écrivait :
« Ce soir je serai sous vos fenêtres pour vous attendre ou pour mourir. »
J’étais à la campagne, j’arrivai à Paris éperdue ; le Luxembourg venait de se fermer ! je courus, chez mpnsieur, qui demeurait au-dessous de notre appartement ; il m’ouvrit une porte donnant sur le jardin, et quand j’arrivai… quand, j’arrivai… Frantz était mort, monsieur.
La jeune femme cacha son visage dans ses deux mains.
— Vous comprenez maintenant, reprit-elle après un long silence, pourquoi la pré-