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II



Stéphane ne resta seul que quelques secondes. La draperie de pourpre s’était relevée. Suzanne était là qui regardait, silencieuse, avec un vague sourire de sphinx.

Le jeune homme ne savait que trop combien il était faible contre l’influence mystérieuse et magique de ces yeux. Comme tout à l’heure, il tenta de détourner son regard : mais une sorte de magnétisme le ramena vers la jeune femme.