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sions. Vous ne connaissez ni le bien ni le mal.

— Vous avez raison, dit Suzanne. Je ne connais ni le bien ni le mal. On ne m’a pas appris ces choses. Je sais seulement que je suis à vous tout entière.

— Laissez-moi. Toute explication est désormais inutile entre nous.

— C’est bien, dit-elle. Je vois ce que vous voulez, Stéphane. Vous voulez reprendre vos anciens projets. Vous voulez épouser Blanche ?

L’indignation étincela dans les yeux du jeune médecin.

— Pour qui me prenez-vous ? dit-il. J’ai un devoir à remplir ici.

— Un devoir ? interrogea Suzanne.