tantes, sont de beaucoup atténuées, et cette légère incorrection de style peut être commise sans difficulté. Exemple :
Observons, en terminant cette section, que les quintes et octaves réelles de suite sont également défendues entre les parties supérieures, abstraction faite de la basse.
Voici, pour terminer, une suite de basses dans chacune desquelles un des quinze accords est employé spécialement avec ses renversements. Le lecteur observera que l’accord et ses renversements, qui font l’objet de chacune de ces basses, ne sont pas chiffrés, afin de l’obliger à avoir recours au tableau page 5. De plus, le lecteur devra remplir, sur une ligne qu’il ajoutera, l’harmonie à quatre parties exigée par ces différentes basses.
A. Emploi des accords parfaits majeur et mineur et de leurs renversements :
B. Emploi de l’accord de quinte diminuée :