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Or, ici de si bon accueil,
alors nous voici tous en deuil,
et bonnes gens, de tous mes seuils,
la peine au cœur, le pleur à l’œil ;

mais vieilles gens qui priez d’or,
alors dans le livre où les morts
ont chacun leur croix et leur page,
mettez une nouvelle image,

pour le beau temps qui s’est allé,
cheval au trot, cheval au pas,
vers ceux qu’il fallait consoler,
ainsi qu’un cavalier s’en va.