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tention de peindre les scènes de la vie, ne l’avaient pas suffisamment préparée à cette rencontre avec la réalité.

Madame Davilow se dit avec amertume que Gwendolen entrait dans une nouvelle phase d’indifférence, et, en revenant seule chez elle, le brillant soleil du matin lui parut plus terne que d’habitude.

Dans la journée, M. Grandcourt se présenta à Offendene, mais il n’y avait personne à la maison.