réduites respectivement ;i 0,74, 0,77, 0.82 cîc ce qu’elles seraient sur un monoplan, ce qui correspond à des pertes de surface de 2G p. 100 pour le biplan doul l’écartement esl les ?/3 de la largeur de l’aile. 23 p. 100 — — est égal à la largeur ;
18 p. 100 — — esl les 4/3 de la largeur. Aux angles inférieurs à 6°, la réduction de poussée diminue assez Aile N°3 a courbure circulaire de flèche /{3 s Biplan courbe écartement 20™soit les fyé delà largeur d° 15 010 soit la largeur
d° 10 e™ soit les 2^ de la largeur
Fie. o. — Poussées verticales sur les biplans cour 1res. rapidement avec l’angle. Ainsi à 3" pour le biplan d’écartement égal aux 4/3 de la largeur, elle n’est plus que de 10 p. 100. L’évaluation de la réduction de poussée horizontale est beaucoup plus délicate, parce que les coefficients Kr sont des chiffres très petits, et parce «pie les tiges qui maintiennent à l’écartement voulu les deux surfaces ont alors une influence qui n’est plus négligeable, surtout aux petits angles. Pour tenir compte autant que possible de celle influence, nous avons déduit de l’effort horizontal R sur chaque biplan courbe, l’effort sur les
