Page:Eiffel - La Résistance de l’air et l’aviation.djvu/74

Cette page n’a pas encore été corrigée
56
LA RÉSISTANCE DE L’AIR ET L’AVIATION

•iO

Cela nous a conduit à poser, i étant exprimé en degrés : K,= +j», Kr=^ (Aï* + Bi+C) (1).

Pour valeurs des coefficients «, (3, A, 11, C,on peut employer les nombres qui mesurent les ordonnées des courbes des ligures 26 et 27. Celles de ces Ordonnées qui correspondent aux courbures de nos plaques représentent nos résultats avec une approximation tout à lait suffisante, comme on peut s’en assurer (2).

(1) Le terme C, qui représente la poussée surliiplaque plane lorsque eelle-ci est parallèle au vent dépend en grande partie de ! épaisseur de la plaqué. Celle que nous avons expérimentée avait une épaisseur «le 3 mm. La surface de la tranche était de <10X0.3 = 27 cm*, cl elle était égale par conséquent au 4,0 la surface de la plaque. Pour les très petits angles. cette tranché jolie donc un rôle très important, que nous n’avons pas cherché à supprimer (on amincissant le bord de la plaque) parce que dans la réalité les ailes d’aéroplanes ont toujours sur les bords une épaisseur de plusieurs centimètres. (2) Ainsi, pour la plaque de flèchc-A= =0,07/,. inclinée fi r>°, on trouve par les formules : 1 o»o

K«f = —7 (6 X 5 -f 2$)=o,a>3,

Ka = (o,3o Xo, + 2.oXH-33)= o,oo53,

et par l’expérience :

Kv — 1 .,o535.

K* — 6 ;<xx‘>i.