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COMPLÉMENT

NOMBRE DK TOU !»» VIT E 8 S K réalisdo V misée POUSSÉE do l’Mlico F V kÿ PUISSANCE •ur l’arbre do l’hélico V _ F 51 — = 0.000225 F 3- P = 0,0000093 1* (P on kgimlire) RENDEMENT ê-«ï 9 ? ni Imite .N p.r seconde 1» on chevaux on 540 9 O 90,5 17/1 i3oo 0 0,0206 0,0121 O id. id. 4,9 84/. 16,9 1270 0,20 0,0192 0,0118 0,32 id. id. 9.8 70,7 >5,9 1190 0,40 0,0161 0,011 1 0,58 id. id. i4,fi 49>6 >4,5 io85 0.60 0,0113 0,0101 0,67 Dans nos essais sur le modèle au tiers, nous avons réalisé des vitesses de rotation de : 600 962 1.260 1.600 tours par minute. La vitesse de 1.600 t/m était très sensiblement le triple de celle réalisée par le capitaine Dorand. Quant à la vitesse du vent, elle a passé de o à 17,5 m/sec. On trouvera dans l’annexe tous les chiffres relatifs à ces expériences. Iis nous ont permis d’établir, en fonction V . F . de -g. les courbes des poussées unitaires -ryp» des couples résistants G . p unitaires puissances unitaires e* des rendements p. Ces courbes sont représentées dans la ligure 47, qui donne en même temps un exemple de notre mode de représentation. Nous avons porté sur chacune la valeur «D correspondante, de manière que les diagrammes puissent s’appliquer, avec toutes leurs indications, à toutes les hélices géométriquement semblables et de diamètres différents. On voit par ces diagrammes qu’à une même valeur de V -j- corresnu pondent des valeurs très sensiblement différentes de ^-pp* ,jy* etc., ce qui met en défaut les formules du paragraphe précédent. Comme dans nos essais la vitesse relative de l’air atteignait déjà 80 m/sec pour N = 1.600 t/m (dans la réalité, on rencontre des vitesses de l’ordre de 150 m/sec), l’écart avec la loi du carré suffit probablement à expliquer ces différences. Les diagrammes montrent bien que les courbes du modèle son ! peu 10