allongements unitaires seront les mêmes pour deux éléments homologues, c’est-à-dire que les déformations de l’hélice et de son modèle seront géométriquement semblables, ou, enfin, que les deux hélices ne cesseront pas d’être géométriquement semblables. F V
En définitive, les courbes etc. .en fonction de——, obtenues avec h u ni)
un modèle, doivent s’appliquer à l’hélice en grandeur si les vitesses relatives de la pale et de l’air sonl les mêmes. Pour nous permettre de le vérifier, M. Drzcwiecki a eu l’obligeance de faire construire une grande hélice et sa réduction au tiers, dans de telles proportions que l’essai pût être fait avec les mêmes vitesses du vent et de la pale, à notre laboratoire pour le modèle et à Chalais pour l’hélice.
L’hélice calculée par M. Drzcwiecki est une hélice « Normale », à angle d’attaque constant. Soit AD (tîg. 44) une section de la pale, faite à une distance r de l’axe de rotation XX. Si l’hélice tourne autour de XX à raison de n tours par seconde et avance avec une vitesse V dans le
sens de cet axe, la vitesse absolue de l’élément considéré est CD, résultante de V et de mm : CD est donc la direction du vent relatif, et l’angle d’attaque par rapport h la corde est i. Cet angle est pris constant, et autant que possible égal à l’angle optimum, c’est-à-dire à l’angle auquel correspond le minimum de ^ pour le profil adopté. Le tracé de l’hélice (fig. 4$) comporte plusieurs sections équidistantes, ainsi déterminées (1).
(i) Ce (racé est constitué parla ligure 44 répétée pour chaque section, les axes X’. X*... étant placés à <les distances de l’axe de rotation liguranl. à l’échelle, la distance réelle des sections : de cette manière les profils indiqués sont des rabattements des diverses sections.
La distance O’C' (fig. 45) étant égale à r. c’est-à-dire à ^ (fig. 44), O’ D’ représente V
c’est-à-dire La longueur O’D' est appelée moilub• par M. Drzcwiecki. La ligurp 45 représente les sections laites à des distances à l’axe de 1. •>, 3... modules. On voit que B
