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COMPLÉMENT

»• — » t Il suffit, comme on l’a vu. «le déterminer rinterseclion des polaires avec une courbe auxiliaire y, obtenue en éliminant la cinquième quantité entre les équations de définition île K, et K : K, K. Q P I.t SV3 n.oS S’ U S Le tableau ci-conlre donne, dans chacun des cinq cas qui peuvent se présenter, l’équation et la nature de la courbe y, et résume les opérations à faire pour obtenir celle des cinq quantités qui est inconnue. Celte méthode, qui est très commode quand on eonnaîl quatre des cinq quantités fondamentales, devient pratiquement inapplicable, en raison des tâtonnements qu’elle entraîne, quand on n’en connaît que trois. C’est alors qu’elle est remplacée par les deux abaques donnés à la lin de noire précédent volume, et donl l’un, très simple, s’applique aux conditions que remplit le plus souvent une bonne aile et dont il faut chercher à sc rapprocher, savoir : K* ; k_ = O,Ou, r—O. ÎO. K* tandis que l’autre, un peu plus compliqué, s’applique à une aile quelconque dont on a déterminé expérimentalement les K et les I„ pour plusieurs inclinaisons.