r,{ On voit que l<“ moiitani n* i a une forme ovoïde présentant les mômes courbures à Pavant et à l’arrière. Les montants n* 2 el n° 3 sont plus arrondis à Pavant et un peu plus fuselés à l’arrière sans présenter entre eux de différences notables, le montant 1 r 3 étant cependant très légèrement plus effilé à l’arrière que le mon tant 11“ 2. Les courbes de la ligure 38 représentent les résultats de nos mesures faites à des vitesses variant depuis ; jusqu’à 15 m/sec. Alors que le coefficient de résistance semble indépendant «le la vitesse pour le montant n’ 1, il baisse légèrement à mesure que cette dernière augmente pour le montant nu 2, et il diminue dans de plus grandes proportions pour le montant ir 3. C’est encore un point que nous étudierons ultérieurement à de plus grandes vitesses. j* PLAQUK l’KRKORKE. MM. Pinoy el Masson nous oui proposé l’essai d une plaque perforée dans le but de savoir si on pourrait alléger ainsi, sans inconvénient au point de vue de la résistance de Pair, les ailes d’aéroplanes. Dans ce but, nous avons procédé à l’essai d’une plaque de 90X 1 j cm à courbure circulaire de flèche—7-7» perforée de 30 trous régulièrement 1M répartis, ayant 20 mm de diamètre. La surface de la plaque ordinaire est de 1.350 cm*, celle des pleins de la plaque perforée de 1.256 cm, soit 7 "/, en moins. La comparaison des résultats obtenus avec ces deux plaques montre (pie, pour la même incidence, les résistances à l’avancement sont sensiblement les mêmes, alors que la sustentation de la plaque perforée est beaucoup réduite. Ainsi, aux angles de o* et 50, on a : O» s» a.. «F n, «y n. «y ’Il n.v y { !>’ SP
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Plaque perforée 5o
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0,3 « 05 392 0,17 Plaque non perforée .... T>2 297 0.18 7° 7 «9 0 n»
