environ. Par différence entre ces deux séries d expériences, nous en avons déduit, pour les lames seules, les efforts unitaires que nous avons représentés en traits discontinus dans la figure. Malgré cette correction, qui dans la réalité M’aurait pas lieu d’être faite puisqu’il faudrait toujours fixer les surfaces à un support quelconque, le rapport en ayant un écartement de 38 mm, soit deux fois la profondeur, on ne En se reportant aux diagrammes ou à ce que nous avons dit un peu plus haut pour cet angle de 120, on voit que la réduction du nombre que leur rapport soit sensiblement diminué : 0,22 au lieu de 0,24 (1). Le modèle de M. Caron comportait un châssis ayant 38 cm de hauteur et 40 cm de largeur, formé par 22 montants réunis par 33 séries profondeur de 25 mm et d une flèche de 2 ////«environ, étaient maintenues à un écartement moyen de 12 //////, soit la moitié de leur profondeur. Ce modèle n’était pas une réduction d’un modèle plus grand, mais un fragment de la surface réelle, qui était formée par la juxtaposition d’éléments identiques à celui que nous avons expérimenté. Chacun des éléments ainsi définis donnait une sustentation repré- 11 D’après its chiffres. M. Haillon eaïeule qu’avec un appareil «l’une surface de 20 ««’, d’un poids dé 3oo ktj, d’une surface nuisible de 1 m* et d’une puissance util<- de 29 ch, il atteindrait eu vol horizontal une vitesse «le 72 km, l’Incidence étant de G0, et qu’à l’atterrissage, il pourrait réduire la vitesse à r«> km, en donnant, à l’incidence la valeur de v.’ (Communication à la Société française de navigation aérienne, du i*r juin 1911.) 1^-minimum conserve encore la valeur 0,20, qui semble trop élevée pour des ailes seules.
Nous avons cherché si, en supprimant une lame sur deux, c’est-à-dire t2° avec
l’ensemble des monlants et des lames nous a donné le résultat suivant : K, =0,018,
de lames a eu pour effet d’augmenter simultanément le K, et le K„ sans Surface de M.. Cakon.
de 10 petites lames courbes très minces en aluminium. Ces lames, d une
