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LA RÉSISTANCE DE L’AIR ET L’AVIATION

saire. Hulin, on peul avoir à chercher les divers régimes que permet une aile existante dont on connaît la polaire. Dans tous ces cas, le premier ahaqué est insuffisant et il faut introduire comme variables, non seulement Q, S, S’, V, P, niais encore abaque, en prolongeant le premier. Dans la planche XXVII, la partie du Iracé qui est au-dessus de la droite A constitue, avec celte droite, le premier abaque ; l’ensemble du tracé constitue le second. Pour indiquer la construction et l’usage du premier abaque, éliminons S entre (i) et (2) (p. 118) ; nous avons : ou, en prenant ~ = o.i et en exprimant la puissance P en chevaux et la

    • r

vitesse V en kilomètres par heure :

Mesurons les P et les Q sur deux échelles parallèles (lig. 70). Los couples de valeurs de P et O qui correspondent à deux valeurs données de N’ et S’ sont sur des droites concourant en un point M qui correspond aux valeurs variant de 10 en io km. et pour une série de valeurs de S’, on obtient donc un diagramme tel que toute droite qu’on y trace donne des groupes de valeurs corrélatives de P, Q, S’ et V. Considérons maintenant l’équation (21. On peul l’écrire, en y faisant K, = 0,059 et en exprimant V en kmjh : Conservons les deux premières échelles du tracé précédent, mais 1 Les triangles semblable* de la ligure donnent en elTel : la forme et l’inclinaison de l’aile. Nous dresserons donc un second K

prises pour Y et S’ (1). En construisant le lieu de M pour des valeurs de V I» - 0 h

o - f» “ 7, ’

qu’on peul écrire :

O11 voit qu’il est facile (le déterminer h et c pour rendre cette relation identique à (51 : on ;i ainsi les coordonnées de M.