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À MONSIEUR VICTOR HUGO
Hugo, tes frères, les poètes,
Sont morts ; il ne reste que toi
D’assis sur les sublimes faîtes,
Et nous te disons tous : Mon roi !
Excuse cette dédicace ;
Le disciple invoque ton nom :
Au satellite obscur qui passe
Le soleil accorde un rayon.
Septembre 1876.