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histoire de l'abbaye des écharlis

Vente du 28 novembre 1831. — Lot de 10 hectares 88 ares, en sept parcelles et divers climats, 1.694 fr., à Favereau ;

Lot de 4 hectares 54 ares, en huit parcelles et divers climats, 709 francs, à Tonnelier, etc. ;

Lot de 3 hectares 36 ares, en six parcelles et divers climats, 528 fr., à Ballanger, etc. ;

Lot de 6 hectares 50 ares, en douze parcelles et divers climats, 1.485 fr., à Claude Martroy ;

Une maison d’habitation, avec dépendances, et 5 hectares 16 ares, en neuf parcelles et divers climats, 1.218 fr., à Tonnellier ;

1 hectare 98 «ares, en trois parcelles, 313 fr., à Pierre Guyon ;

3 hectares 46 ares, en six parcelles, 517 fr. ;

Vente du 2 octobre 1832. — 16 ares 80 de terre, à Arblay, 38 fr. 50, à Jolivet ;

13 ares 86, au Marchais-Potier, 1 hectare 28 ares 57 de bois, à la Mardelle, 37 ares 80 au champ Chevalier, 10 ares 55 à la pâture de Méry, 3 hectares 32 ares, en six parcelles et divers climats, 528 fr., à la veuve F. Giroux ;

Vente du 15 janvier 1832. — 4 hectares 79 ares, en sept parcelles et divers climats, 748 fr., à Pierre, etc. ;

Vente du 10 mars 1833. — 2 hectares 78 ares, en deux parcelles, 434 fr., à Martin ;

Vente du 13 avril 1836. — 1 hectare 12 ares, en quatre parcelles, 154 fr., à Moreau ;

Vente du 1er avril 1844[1]. — 25 ares de terre sur Cudot, 75 francs, à J. Dorare ;

25 ares de terre à Cudot, 75 fr., à Luquet ;

Vente du 14 décembre 1844. — 3 hectares 22 ares, au Champ d’Arblay, 190 fr., à Bachelet.

les ruines des écharlis. — la fontaine minérale.

Pendant que les biens des Écharlis sont livrés à des prix dérisoires, Luc Leriche, propriétaire du couvent, commence à démolir les bâtiments qui lui sont inutiles pour en vendre les matériaux. Ses successeurs l’imitent et, quand de Saint-Amand passe à l’abbaye, en octobre 1825, l’œuvre de destruc-

  1. Loi du 20 mai 1836, ordonnance du 14 décembre 1837, dérision ministérielle du 27 février 1844.