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CHAPITRE IV.
Un matin, le lendemain du jour où
les médecins avoient prononcé que
j’étois hors de danger, Crawley m’envoya
par Ellinor un billet, dans lequel
il me félicitoit de ma guérison,
et me demandoit une entrevue d’une
demi-heure. Je refusai de le voir, et
répondis que j’étois encore trop foible
pour m’occuper d’affaires. Le même
matin, Ellinor vint, de la part de
Turner, mon intendant, me présenter
ses respectueux hommages, et demander
un entretien de quelques
minutes, pour communiquer des
choses importantes. Je consentis à
voir Turner. Il entra, la gaîté dans le
cœur et la tristesse dans les yeux.