Page:Edgeworth - L Ennui.djvu/170

Cette page a été validée par deux contributeurs.

ajouta quelques réflexions sur la division du travail ; il me cita la Richesse des Nations de Smith ; mais je lui répondis que Smith étoit un Écossais.

Je ne puis exprimer à quel point je redoutois les peut être, et les il seroit possible de M. M’Léod.

La société de M. Hardcastle, m’épargna bientôt la peine du doute et la fatigue du travail ; aussi j’encourageai ses visites par la réception la plus gracieuse. M. Hardcastle étoit l’intendant de la douairière Ormsby, qui avoit de vastes possessions dans mon voisinage. Cet homme étoit dans sa démarche et dans sa conversation, l’antipode de M. M’Léod : parleur tranchant et décisif, il ne savoit pas ce que c’est que douter ; il regardoit le doute comme une preuve d’ignorance, de