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Clonbrony et sir Térence, que toutes sollicitations seraient vaines. Lord Clonbrony laissa échapper un profond soupir.

« Mais quand il s’agit de ruine ou de salut ! quand il y va du sort de son mari et de tout ce qui lui appartient, cette femme ne peut persister à être une mule, » dit sir Térence.

« De qui parlez-vous, monsieur ! » dit lord Colambre.

— « De qui ! ah ! je vous demande pardon, je croyais parler à milord Clonbrony ; mais, en d’autres mots, puisque vous êtes son fils, je suis persuadé que milady, votre mère, se montrera femme raisonnable, quand elle verra qu’elle ne peut faire autrement. Ainsi milord Clonbrony, ne vous désolez pas, on peut opérer bien des choses par la peur de Mordicai et la menace d’une exécution, surtout à présent qu’il n’y a plus de