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pays qui l’a vu naître, et nous le quittons.

Mais en le quittant, nous pouvons raisonnablement espérer qu’il tiendra, durant sa vie, tout ce que son caractère promettait dès sa jeunesse ; que ses vues patriotiques s’étendront avec le pouvoir de réaliser ses souhaits ; que son attachement pour ses compatriotes, si rempli de cordialité, s’augmentera à mesure qu’il les connaîtra davantage ; et qu’il répandra long-temps le bonheur dans ce cercle étendu qui est particulièrement soumis à l’influence et à l’exemple d’un grand propriétaire irlandais, qui réside dans ses terres.


Lettre de Larry à son frère, Pat Brady,
chez M. Mordicai, sellier à Londres.


Mon cher frère,

« Votre lettre du 16, qui contenait