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cles, » dit lord Clonbrony ; « et cela prendra du temps. Les amans, comme tous autres, dans le monde, doivent se soumettre aux délais nécessaires. En attendant, ma chère, comme les eaux de Buxton vous font grand bien, et comme Grâce ne me paraît pas assez forte à présent pour entreprendre un long voyage, nous ferons bien de profiter de l’occasion pour voir les curiosités et les beaux sites du Derbyshire, Maltock, et les merveilles du Pic, etc. Nos jeunes gens seraient bien-aises de les visiter ensemble, et n’en auront pas de sitôt l’occasion. Pourquoi ne nous reposerions-nous pas ici ? D’ailleurs, « continua milord, qui accumulait les argumens, car il avait souvent observé que lady Clonbrony qui résistait d’ordinaire à un seul, cédait à leur nombre de quelque espèce qu’ils fussent, « d’ailleurs, ma chère, sir Arthur et lady