Page:Edgeworth - L Absent tome 3.djvu/260

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sentiment qu’elle avait de ses devoirs, elle voulut partir à l’instant pour aller lui offrir tous les soins et toutes les consolations qui étaient en son pouvoir. Lady Berryl l’assura que Mr. Reynolds avait positivement déclaré qu’il ne voulait pas qu’elle allât le trouver, et qu’il ne la verrait pas si elle venait chez lui. Après une si rapide succession d’émotions de tout genre, la pauvre Grâce avait besoin de repos, et son amie eut soin qu’elle pût en prendre sans interruption, durant le reste de cette journée.

Pendant cette conférence, lord Clonbrony avait charitablement et judicieusement occupé sa femme d’une discussion sur un meuble de velours peint, que Grâce avait travaillé pour le salon du château de Clonbrony.

Dans l’esprit de lady Clonbrony, de même que dans quelques mauvais ta-